UDI

UDI, le réveil de la politique

samedi 15 octobre 2016

Appel de Jean-Christophe Lagarde à s'engager dans la campagne d'Alain Juppé

Madame, Monsieur, Chers Amis,

Au mois de Mars dernier, nous avons tous ensemble décidé en Congrès de ne pas engager de candidat dans la primaire de la droite et du centre puisque "Les Républicains" avaient refusé que nous puissions conclure au préalable un plateforme de Gouvernement.

Celle-ci aurait pu nous garantir sur les grandes orientations partagées d'une éventuelle nouvelle majorité. A défaut d’accord, engager un candidat dans la primaire eut été accepter le programme du vainqueur même s'il ne nous convenait pas. Nous avons donc fait le choix de rester libres avant, pendant et après la primaire.

En Conseil de la Présidence, nous sommes convenus de rencontrer les principaux candidats à cette primaire pour étudier et débattre avec eux de nos convergences et divergences sur les lignes politiques, ainsi que pour leur expliquer notre volonté de mettre fin à la culture du parti unique pour construire une coalition.

Ces rencontres ont permis de faire partager plus largement le besoin de coalition pour gouverner efficacement demain et de constater les points communs, mais aussi les différences, que nous pouvions avoir avec les candidats.

Dans le même temps, depuis l'entrée en campagne officielle des candidats, la tournure des échanges autour de thèmes identitaires et l'évitement des vrais problèmes de notre pays (chômage, éducation, logement, dette, Europe, etc.) a fait naître parmi nous un besoin grandissant de s'engager dans ce débat pour y faire gagner le candidat le plus proche de nos idées. J'ai pu le constater auprès de vous dans chacune de nos Universités régionales.

Si j'avais souhaité qu'une prise de position puisse être collective, cela n'a pas empêché une minorité de prises de position individuelles. Mais je veux ici remercier la grande majorité de nos parlementaires, de nos élus locaux, de nos cadres et de nos militants qui ont souhaité attendre et participer à une démarche collective.

C'est l'initiative que nous venons de prendre, en lien avec les représentants des Adhérents Directs, des principales composantes, des jeunes UDI, de la grande majorité des parlementaires et de 600 grands élus locaux, montrant une UDI massivement rassemblée pour soutenir la candidature d'Alain JUPPÉ.

Dès à présent, j'invite tous ceux qui veulent que l'UDI puisse compter dans une future majorité, pour y faire valoir nos idées et nos valeurs, à se mobiliser autour de sa candidature pour voter et surtout faire voter pour Alain JUPPÉ les 20 et 27 novembre prochains.

Tous ceux qui le souhaitent peuvent d'ores et déjà contacter les signataires de cet appel dans leur département afin de s’engager activement dans cette campagne qu'il nous appartient de mener conjointement avec les comités de soutien locaux du candidat, dont vous trouverez la liste ci-dessous :


J'invite également les conseillers municipaux, les adjoints au maire et les maires indépendants qui nous sont proches à relayer et à démultiplier cet appel dans leur département, leur presse locale et leur réseau de sympathisants.

Cette prise de position, cet engagement qui représente plus des deux tiers de nos parlementaires, plus des trois quarts de nos élus locaux et l'écrasante majorité de nos militants, est une force au service de nos combats, de nos idées, de nos valeurs. Je sais pouvoir compter sur la mobilisation du plus grand nombre d'entre vous pour que nous continuions à nous faire entendre demain.
Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, Chers Amis, en me sentiments les meilleurs et les plus militants.

Amicalement,

Jean-Christophe LAGARDE
Président de l'UDI

mercredi 12 octobre 2016

600 élus de l'UDI apportent leur soutien à Alain Juppé

Le 20 mars dernier, l’UDI a fait le choix de l’indépendance et de la liberté : liberté avant, pendant et après la primaire de la Droite et du Centre. Il aurait en effet été inconcevable et inacceptable d’être lié par l’éventuelle victoire d’un candidat éloigné de nos valeurs, et avec lequel aucune discussion ne serait possible sur un projet porteur d’espérance et de confiance.
Notre liberté, c’est l’engagement. Ce n’est en aucun cas l’isolement. 
Lors des élections municipales, départementales et régionales, nous avons permis de nombreuses alternances en additionnant nos différences avec la droite républicaine. L’élection de celui qui sera non seulement le leader des « Républicains », mais aussi  leur candidat à la présidentielle, ne peut donc nous laisser indifférents. Il a vocation à devenir notre partenaire le plus naturel pour construire une coalition permettant une alternance utile pour notre pays.
Aujourd’hui, notre engagement collectif est guidé par deux exigences essentielles : d’une part, un socle programmatique partagé et, d’autre part, un positionnement politique clair pour construire une nouvelle majorité.
Le programme du candidat que nous voulons soutenir doit nécessairement respecter les valeurs humanistes, profondément européennes, progressistes et sociales que nous incarnons. Il doit être compatible avec les orientations fondamentales de l’UDI :
  • Refonder l’Europe, grâce à une intégration plus forte entre les pays de la zone euro, indispensable à l’établissement d’une stratégie économique et industrielle commune, et seule capable de nous protéger face aux grandes puissances et à la mondialisation.
  • Reconstruire un modèle social, créateur d’emplois et de croissance équitable :
  • en favorisant la liberté d’entreprendre et la participation des salariés dans les entreprises ; 
  • en simplifiant et en sécurisant la fiscalité et le marché du travail ;
  • en maîtrisant nos finances publiques pour que nos enfants n’aient pas à payer demain ce que nous refusons de payer aujourd’hui ;
  • en transférant le poids financier de la protection sociale du travail vers la consommation pour gagner en compétitivité ;
  • en créant une allocation sociale unique pour plus d’équité entre les Français.
  • en accordant de nouveaux droits sociaux pour faire face à la dépendance et en généralisant l’accession sociale à la propriété.
  • Relancer l’ascenseur social par l’éducation, mère de toutes les batailles, en donnant la priorité à l’école primaire et en nouant un nouveau pacte de confiance avec les enseignants, fondé notamment sur plus d’autonomie car chaque territoire, chaque établissement et plus encore chaque enfant sont uniques.
  • Défendre une laïcité respectée et respectueuse des croyances et opinions de chacun, socle indispensable à la cohésion nationale.
  • Promouvoir une écologie responsable, porteuse d’emplois durables et qui renoue avec l’esprit du Grenelle de l’Environnement en renforçant les trois piliers de la transition énergétique que sont le logement, les transports et les énergies renouvelables.
  • Rétablir l’autorité de l’Etat avec fermeté, sérénité et constance, en augmentant les moyens de la police, de la justice et de la défense, seuls capables de nous protéger des menaces intérieures et extérieures qui ne cessent de croître ;
  • Faire confiance à nos territoires en adoptant une vision girondine et décentralisatrice afin que leurs enjeux spécifiques soient traités au plus près du terrain par les acteurs concernés ;
S’engager dans le développement du continent africain, comme l’incarne le projet porté avec force par Jean-Louis BORLOO afin de faire de ce continent une chance pour l’Europe plutôt qu’une menace.
S’agissant de la posture adoptée par le candidat, nous rejetons fermement tant le mythe de l’homme providentiel que le culte du parti unique. Notre candidat doit être convaincu que pour transformer et adapter notre pays aux défis de la mondialisation, il faut fédérer pour construire, dialoguer pour décider et respecter pour apaiser.
Etre en capacité d’entreprendre des réformes structurelles et refonder notre pacte républicain implique la volonté absolue d’édifier une nouvelle et large majorité de tous ceux qui croient au progrès de l’homme et de la société, de tous ceux qui en croient en la République. En somme, notre candidat doit pouvoir mettre en œuvre les conditions d’une véritable recomposition politique.
Après avoir pris le temps de la réflexion, de la discussion mais surtout de la confrontation des programmes, nous, élus de l’UDI, avons décidé d’apporter notre soutien à Alain JUPPE. Comme nous, il incarne la force de l’optimisme nécessaire à toute évolution, la force du mouvement, de la réconciliation et du courage.
Nous, élus de l’UDI, appelons l’ensemble des citoyens à s’engager pleinement, à participer massivement et à voter pour Alain JUPPE les 20 et 27 novembre prochains.

Jean-Christophe Lagarde, Président de l’UDI, Député-maire de Drancy
Laurent Hénart, Président du Conseil National de l’UDI, Président du Parti Radical, Maire de Nancy

vendredi 16 septembre 2016

Question relative aux travaux place de la Bastille

Voici la question qui a été posée le lundi 12 septembre 2016 au conseil d'arrondissement par Jean-Pierre Plonquet, conseiller d'arrondissement UDI-MODEM :



Question à l’attention du Maire de Paris 4e
Conseil d’arrondissement du lundi 12 Septembre 2016

Thème : « Place de la Bastille »



Monsieur le Maire


Comme tous les parisiens cet été, nous avons vu surgir des palissades entourant la colonne de Juillet.

Il s’agit de protéger les entreprises qui travaillent aux aménagements nécessaires devant permettre in fine la visite des caveaux qui se trouvent sous la place.

Cette ouverture fait partie du plan de rénovation et de réappropriation de la place de la Bastille.

Des panneaux d’informations ont été installés sur l’esplanade de l’Arsenal. Mal m’en a pris de tarder à les consulter. Lorsque je me suis décidé à le faire mercredi 31 août les affiches venaient d’être enlevées.

Peut-être un mal pour un bien finalement. Il me semble en effet Monsieur le Maire que le moment est venu de redonner aux habitants une visibilité sur le timing et les choix définitifs concernant la place, les dernières discussions en conseil datant de Mars dernier.

En premier lieu, pouvez nous indiquer où nous rappeler jusqu’à quand les travaux actuels autour de la colonne vont-ils durer ?

Par ailleurs, sur l’ensemble des travaux, pouvez-vous redonner le macro-planning qui doit nous amener à la forme cible retenue ? Peut-il être rendu visible sur le site de la Mairie ?

Enfin, sur le plan de circulation, au moment du vote sur les scénarios, le choix définitif n’était en fait pas entériné. Je reprends la formulation utilisée dans l’exposé des motifs : « Parmi plusieurs scénarios étudiés et sous réserve que les études de circulation en confirment la possibilité … ».

En conséquence, pouvez-vous nous informer sur l’avancée de ces études de circulation ?

Au moment où la contestation sur la fermeture arbitraire des voies sur berges se fait de plus en plus forte, au moment où une commission d’enquête émet en l’état un avis défavorable sur cette fermeture, il devient crucial de s’assurer de la cohérence des solutions envisagées et leur viabilité pour nos quartiers, pour les habitants de Paris et île de France.

Le projet de voie sur berge rive droite montre qu’Anne Hidalgo met à mal l’esprit de concertation et de participation. Il est peut-être encore temps de faire autrement pour Bastille.

En conclusion, pourriez-vous envisager une nouvelle consultation, sous une forme à définir, sur le futur plan de circulation de la place de la Bastille ?


Je vous remercie.

dimanche 11 septembre 2016

Communiqué d'Edith GALLOIS à propos de la fermeture des Voies sur Berges rive droite


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 Paris, le 9 septembre 2016

Fermeture des voies sur berges rive droite : contre l’esbroufe de l’exécutif, posons les vraies questions !

Les réticences et critiques se font de plus en plus nombreuses concernant la méthode avec laquelle la Mairie de Paris a décidé de la fermeture des voies sur berges rive droite à la circulation automobile. Or, plutôt que de remettre en cause sa méthode et son calendrier pour parvenir à une piétonisation admise par tous, la majorité municipale préfère faire la sourde oreille, passer outre la Commission d’enquête publique, et renvoyer avec dédain ces critiques et interrogations, pourtant légitimes, en les présentant comme dénuées de fondements et de propositions. 

En réalité, la gauche municipale a décidé, depuis déjà de nombreuses années, de faire de la question de la voiture à Paris un marqueur idéologique, un clivage artificiel pour renvoyer tous ceux qui seraient opposés d’une manière ou d’une autre à leurs projets ou à leurs méthodes comme des défenseurs rétrogrades d’un Paris pollué des années 60. Or, les questions des déplacements individuels automobiles, comme de la pollution, sont complexes. On ne peut envisager une réduction de leur place au sein de la capitale, souhaitable à bien des égards, sans repenser en profondeur et de manière plus globale la question des transports à Paris.

Or, ce positionnement, adopté depuis 2001 par Bertrand Delanoë et repris par Anne Hidalgo, est dangereux, dans la mesure où il évite à l’exécutif se poser certaines des bonnes questions de réduction de la pollution, ce qui explique en grande partie son échec de la gauche en la matière.

Ainsi, je milite depuis de nombreuses années pour que la Seine redevienne un axe majeur pour Paris en termes de logistique urbaine et de fret fluvial. Un aspect, hélas, toujours absent, y compris de l’appel à projets commun avec des villes telles que le Havre ou Rouen, Réinventer la Seine. Une question pourtant vitale, tant elle contribue à résoudre l’une des sources majeures de pollution, atmosphérique, sonore et visuelle à Paris : les poids-lourds. Une question soigneusement esquivée par l’exécutif, à l’instar de celle de la pollution aux particules fines dans le métro, qui préfère agiter le chiffon rouge des véhicules automobiles individuels.

Agir au nom d’une gouvernance responsable, et non archaïque, c’est aussi cela entrer dans le Paris du 21ème siècle.                



Edith Gallois
Vice-Présidente du groupe UDI-MoDem du Conseil de Paris
Conseillère de Paris (13ème)   

vendredi 2 septembre 2016

La tribune de rentrée de Jean-Pierre Plonquet

Voici la tribune parue dans le Journal municipal "Centre Ville" Conseiller d'arrondissement UDI-MODEM du 4e



Chers amis



J’espère que vous avez tous pu profiter de cet été, qu’il fut studieux ou grand moment de repos.

Ces dernières années, il devient de plus en plus difficile de parler de trêve estivale. Le pays est resté sous tension.

Pour notre arrondissement, l’actualité de la rentrée va être également très forte, avec deux sujets majeurs pour l’arrondissement.

La fermeture des voies sur berges va générer de grosses difficultés pour les usagers et les habitants. Le groupe UDI MODEM n’est pas opposé sur le fond à la piétonisation. C’est la méthode brutale que nous condamnons, sans concertation, au mépris des habitants, des entrepreneurs et de nos amis de la proche banlieue. C’est ce que j’ai pu affirmer lors d’un récent conseil d’arrondissement, en votant contre la décision de fermeture des voies sur berges dès cette rentrée.

Cela dénote également d’une dérive autoritaire. Il suffit de voir les réactions de la Mairie de Paris suite aux résultats de la commission de consultation. Nous sommes loin de l’esprit des budgets participatifs …

Le thème de ce numéro est la Mairie, ce lieu de convivialité, ce qui est vrai. Cela dit, le projet de fusion des arrondissements 1 2 3 et 4, s’il se réalise, va changer cette relation, cette proximité qui s’est instaurée. Dossier également à suivre dans les prochaines semaines. Et n’oublions pas que ce sujet, pourtant structurant, ne faisait pas partie du programme de campagne d’Anne Hidalgo.



Chers amis, je souhaite une excellente rentrée à tous les filles et garçons, petits et grands, sans oublier les parents !



Amicalement

Jean-Pierre PLONQUET

mardi 23 août 2016

Piétonisation des berges de la rive Droite : le groupe UDI-MODEM du Conseil de Paris en appel à la raison

Voici le communiqué publié aujourd'hui par le groupe UDI-MODEM du Conseil de Paris. Ce sujet concerne le 4e arrondissement mais aussi l'ensemble de la métropole parisienne.

samedi 4 juin 2016

Paris 2014 : des Jeux pour tous ?


Venez débattre le jeudi 9 juin à 19h à la mairie du 2e arrondissement. L'UDI Paris 1er, 2e, 3e et 4e organisent un débat avec Trésor Makunda, athlète multimédaillé paralympique champion du monde 2006 sur 100m sur le thème "Paris 2024 : des Jeux pour tous ?".


vendredi 3 juin 2016

Question de Jean-Pierre Plonquet au CA du 31 mai 2016 à propos de travaux sur le TEP Neuve Sain-Pierre



Jean-Pierre PLONQUET, Conseiller d’arrondissement
Monsieur le Maire, Paris a toujours fait l'objet de grands travaux : les Halles, le Louvre, la Bibliothèque Nationale, les Batignolles, la Samaritaine. Quant à l'appel à projets « Réinventer Paris », il fera émerger une vingtaine de projets plus ou moins grands, visibles de tous et accompagnés d'actions de communication significatives, comme ce qui a été fait au pavillon de l'Arsenal sur le projet Morland.

Des sujets plus locaux donnent aussi lieu à une campagne de communication. C'est le cas, dans le 4e arrondissement, du projet de Terrain d'Éducation Physique (TEP) Neuve Saint-Pierre qui a fait l'objet d'une réunion publique en février 2016, même si les copropriétaires n'ont pas encore été consultés.

Il y a aussi des projets locaux qui avancent sans grande volonté d'ouverture. C'est le cas de la refonte du Centre de Recherche Interdisciplinaire (CRI), rue Charles V. Pourtant, les travaux prévus vont durer pendant près de deux ans pour un coût total d'environ 18 000 000 d'euros.

Deux ans de travaux dans cet endroit du Marais nous paraissent très longs. La concomitance avec les travaux rue Neuve Saint-Pierre devrait provoquer une perturbation supplémentaire. Nous pouvons regretter le manque évident de coordination. La dernière enquête d'évaluation des niveaux de bruit dans le 4e arrondissement donnait la rue Beautreillis comme la plus calme de l'arrondissement. Cela ne sera plus le cas pendant les deux prochaines années. Nos discussions avec les habitants ont montré un défaut d'information au niveau des habitants des rues Beautreillis, Charles V et Neuve Saint-Pierre, malgré tout ce qui a été fait réglementairement en lien avec les actions juridiques. La démolition d'un immeuble dans la parcelle du CRI n'a été annoncée que sur le permis de construire accordé à l'été 2015.

En vertu de l'ordonnance du référé du 15 mars 2016 décidé par la RIVP, les copropriétés du 12 rue Charles V et des 9, 11 et 15 rue Beautreillis ont déjà eu des frais d'avocat et devront se soumettre à l'inspection de leur bâtiment par un expert. Cela semble assez paradoxal puisqu'ils devront subir les conséquences de la démolition en même temps qu'ils devront payer des frais d'avocat.

Le terrain qui restera découvert dans la parcelle du TEP sera dédié au football, au basket-ball et au handball, juste sous les fenêtres du 15 rue Beautreillis et, dans une moindre mesure, du 7 rue Beautreillis.

Mes questions sont donc les suivantes :

  • Quelles actions de communication envisagez-vous à destination des habitants des rues concernées pour leur donner le niveau d'information détaillée nécessaire sur l'ordonnancement des travaux et les degrés de nuisance en fonction des étapes ?

  • Quelles actions allez-vous justement mener auprès des entrepreneurs pour faire en sorte que les nuisances de tout type soient atténuées le plus possible ?

  • Quelles garanties peuvent être apportées pour que le niveau de bruit après les travaux revienne au niveau d'aujourd'hui ? Il y a des inquiétudes quant aux systèmes d'aération qui pourraient être mis en place sur les immeubles du CRI.

  • Pourquoi la Mairie de Paris n'est pas intervenue pour éviter la concomitance des travaux du CRI et du TEP ? Cela est-il encore évitable ou atténué ?

  • Vous engagez-vous à respecter le délai de deux mois entre la publication du permis de construire et le début des travaux pour le Terrain d'Éducation Physique ?