UDI

UDI, le réveil de la politique
Affichage des articles dont le libellé est questions groupe UDI-MODEM. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est questions groupe UDI-MODEM. Afficher tous les articles

dimanche 22 janvier 2017

Question de Jean-Pierre Plonquet relative aux illuminations de Noël dans le 4e arrondissement

Question à l’attention du Maire de Paris 4e
Conseil d’arrondissement du mardi 17 Janvier 2017


Monsieur le Maire
Lors des périodes de fin d’année, les parisiens sont attachés aux illuminations et notamment celles que nous pouvons apprécier dans nos rues.
Cette année, nous avons été nombreux à nous étonner du peu d’illuminations dans le 4ème.
Je vous remercie pour les explications que vous pourrez nous apporter.
Jean-Pierre Plonquet
Conseiller arrondissement Paris 4e
Groupe UDI MODEM

vendredi 16 septembre 2016

Question relative aux travaux place de la Bastille

Voici la question qui a été posée le lundi 12 septembre 2016 au conseil d'arrondissement par Jean-Pierre Plonquet, conseiller d'arrondissement UDI-MODEM :



Question à l’attention du Maire de Paris 4e
Conseil d’arrondissement du lundi 12 Septembre 2016

Thème : « Place de la Bastille »



Monsieur le Maire


Comme tous les parisiens cet été, nous avons vu surgir des palissades entourant la colonne de Juillet.

Il s’agit de protéger les entreprises qui travaillent aux aménagements nécessaires devant permettre in fine la visite des caveaux qui se trouvent sous la place.

Cette ouverture fait partie du plan de rénovation et de réappropriation de la place de la Bastille.

Des panneaux d’informations ont été installés sur l’esplanade de l’Arsenal. Mal m’en a pris de tarder à les consulter. Lorsque je me suis décidé à le faire mercredi 31 août les affiches venaient d’être enlevées.

Peut-être un mal pour un bien finalement. Il me semble en effet Monsieur le Maire que le moment est venu de redonner aux habitants une visibilité sur le timing et les choix définitifs concernant la place, les dernières discussions en conseil datant de Mars dernier.

En premier lieu, pouvez nous indiquer où nous rappeler jusqu’à quand les travaux actuels autour de la colonne vont-ils durer ?

Par ailleurs, sur l’ensemble des travaux, pouvez-vous redonner le macro-planning qui doit nous amener à la forme cible retenue ? Peut-il être rendu visible sur le site de la Mairie ?

Enfin, sur le plan de circulation, au moment du vote sur les scénarios, le choix définitif n’était en fait pas entériné. Je reprends la formulation utilisée dans l’exposé des motifs : « Parmi plusieurs scénarios étudiés et sous réserve que les études de circulation en confirment la possibilité … ».

En conséquence, pouvez-vous nous informer sur l’avancée de ces études de circulation ?

Au moment où la contestation sur la fermeture arbitraire des voies sur berges se fait de plus en plus forte, au moment où une commission d’enquête émet en l’état un avis défavorable sur cette fermeture, il devient crucial de s’assurer de la cohérence des solutions envisagées et leur viabilité pour nos quartiers, pour les habitants de Paris et île de France.

Le projet de voie sur berge rive droite montre qu’Anne Hidalgo met à mal l’esprit de concertation et de participation. Il est peut-être encore temps de faire autrement pour Bastille.

En conclusion, pourriez-vous envisager une nouvelle consultation, sous une forme à définir, sur le futur plan de circulation de la place de la Bastille ?


Je vous remercie.

dimanche 11 septembre 2016

Communiqué d'Edith GALLOIS à propos de la fermeture des Voies sur Berges rive droite


Logo signature
 Paris, le 9 septembre 2016

Fermeture des voies sur berges rive droite : contre l’esbroufe de l’exécutif, posons les vraies questions !

Les réticences et critiques se font de plus en plus nombreuses concernant la méthode avec laquelle la Mairie de Paris a décidé de la fermeture des voies sur berges rive droite à la circulation automobile. Or, plutôt que de remettre en cause sa méthode et son calendrier pour parvenir à une piétonisation admise par tous, la majorité municipale préfère faire la sourde oreille, passer outre la Commission d’enquête publique, et renvoyer avec dédain ces critiques et interrogations, pourtant légitimes, en les présentant comme dénuées de fondements et de propositions. 

En réalité, la gauche municipale a décidé, depuis déjà de nombreuses années, de faire de la question de la voiture à Paris un marqueur idéologique, un clivage artificiel pour renvoyer tous ceux qui seraient opposés d’une manière ou d’une autre à leurs projets ou à leurs méthodes comme des défenseurs rétrogrades d’un Paris pollué des années 60. Or, les questions des déplacements individuels automobiles, comme de la pollution, sont complexes. On ne peut envisager une réduction de leur place au sein de la capitale, souhaitable à bien des égards, sans repenser en profondeur et de manière plus globale la question des transports à Paris.

Or, ce positionnement, adopté depuis 2001 par Bertrand Delanoë et repris par Anne Hidalgo, est dangereux, dans la mesure où il évite à l’exécutif se poser certaines des bonnes questions de réduction de la pollution, ce qui explique en grande partie son échec de la gauche en la matière.

Ainsi, je milite depuis de nombreuses années pour que la Seine redevienne un axe majeur pour Paris en termes de logistique urbaine et de fret fluvial. Un aspect, hélas, toujours absent, y compris de l’appel à projets commun avec des villes telles que le Havre ou Rouen, Réinventer la Seine. Une question pourtant vitale, tant elle contribue à résoudre l’une des sources majeures de pollution, atmosphérique, sonore et visuelle à Paris : les poids-lourds. Une question soigneusement esquivée par l’exécutif, à l’instar de celle de la pollution aux particules fines dans le métro, qui préfère agiter le chiffon rouge des véhicules automobiles individuels.

Agir au nom d’une gouvernance responsable, et non archaïque, c’est aussi cela entrer dans le Paris du 21ème siècle.                



Edith Gallois
Vice-Présidente du groupe UDI-MoDem du Conseil de Paris
Conseillère de Paris (13ème)   

mercredi 1 juin 2016

Conseil d'arrondissement du 31 mai 2016 : question posée par Jean-Pierre Plonquet à propos de l'état du Marché aux Fleurs

Conformément à l’article L.2511-12  al.5 du Code Général des Collectivités Territoriales ;  
Vu l’article 25 du règlement intérieur du Conseil du 4e arrondissement ;  
Monsieur le Maire

Je pense que vous connaissez mon attachement pour les îles du 4e arrondissement. A l'évidence pour l'île Saint-Louis, j'y ai habité pendant 8 ans, mes enfants y ont fait leur scolarité de la maternelle au CM2. J'apprécie tout autant l’île de la Cité, si proche et si différente de l'île Saint-Louis. Il y a quelques mois, je vous questionnais sur le projet présidentiel d'une étude pour une vision sur le devenir de l'ile dans 40 ans.  
Avoir une vision pour un quartier dans 40 ans c'est très bien, mais encore faut-il rester connecté également à la réalité. 
Et la réalité nous impose de regarder de plus près ce qui fait aujourd’hui aussi le charme de l'ile de la Cité, notamment le Marché aux fleurs. 
Voilà donc un lieu qui par beaucoup d'aspects n'est pas rentré dans le 21ème siècle, voir qui est toujours au 19ème siècle. Cela peut éventuellement apparaître sympathique, si ce n'est que cela met en danger sa pérennité. Et la visite récente le 7 Juin 2014 - sous la pluie tout le monde se le rappelle - de la Reine d'Angleterre, n'a pas changé grand-chose à l'affaire. 
Deux types de sujets m'inquiètent particulièrement : 
- La vétusté apparente à beaucoup d'endroit des bâtiments - Les statuts associés à l'usage des lieux 
Concernant la vétusté, on peut constater : 
- des problèmes récurrents de tags inappropriés - des bas de bâtiments en bois très détériorés, ayant du mal à résister aux temps et aux hommes - la présence de locaux vides, accentuant la perception de saleté en certains endroits, et donnant un sentiment de perte de vitesse - des peintures pas vraiment fraîches, la dernière rénovation globale remontant aux mandatures de Jacques Chirac 
Mais cette vétusté est accentuée par un problème plus structurant, celui des statuts d'occupation. A titre d'exemple : 
 
- Pourquoi les commerçants ne bénéficient-ils pas du même statut que de ceux opérant dans un marché couvert, alors qu'ils sont tout autant sédentaires ? Pourquoi donc ne bénéficient-ils pas d'une convention d’occupation de l’espace public, au même titre que les pour les kiosques à journaux, qui ont fait tout récemment l'actualité ? 
- La précarité des statuts, même si beaucoup de commerçants sont en place, pour certains, depuis plusieurs générations, rend difficile des travaux par les commerçants eux-mêmes, car les frais engagés deviennent non récupérables lors de cession, les cessions n’étant possibles que pour les descendants des commerçants en place. J’évoquais tout à l’heure le 19ème siècle. 
- La faculté de s'agrandir pour un commerçant est réduite, car l'usage de locaux contigus libres est lié à la situation maritale ... 
- Ces statuts "précaires" rendent difficile une régénération de l'écosystème. Une lente régression est presque inéluctable sans modernisation. 
Monsieur le Maire, il est donc temps de faire rentrer le Marché aux Fleurs dans le 21ème siècle. Cela peut se faire en traitant les questions suivantes : 
- Quand les commerçants pourront-ils bénéficier d'une convention d'occupation du domaine publique ? Il s'agit là d'une promesse faite il y a 5 ans - Quand une rénovation du lieu sera menée ? Des services de la ville seraient passées il y a quelques mois en l'évoquant, mais depuis pas de nouvelles  
- Quand une commission ad-hoc pourrait-elle être montée entre les commerçants et la ville de Paris pour mettre à plat les statuts, travailler à leur modernisation, pour en finir avec les spécificités propres à ce marché ? 
D'autres points peuvent être aussi soulevés, comme l’amélioration de la signalétique, la sécurisation des locaux contre les vols, ...  
Mais la question du statut reste à mon sens la question centrale. Sans le traitement de celle-ci, le Marché aux Fleurs risque de s’assécher, doucement mais surement. 
Monsieur le Maire, voilà un sujet que nous pourrions faire avancer tous ensemble, pour un lieu apprécié de tous. 
Je vous remercie."

dimanche 22 mai 2016

L'avenir des Kiosques parisiens : la position du groupe UDI/MODEM

Voici un texte de Jean-Pierre Plonquet (conseiller d'arrondissement UDI du 4e) concernant le vote relatif aux kiosques de presse. Sujet qui a été en discussion au mois de mai 2016 lors du Conseil d'arrondissement du 4e et du Conseil de Paris :


"Voila un sujet qui a fait beaucoup écrire et continue de le faire, ce qu peut apparaître - à tord - comme un comble, vu qu'il est en partie la conséquence de la baisse des ventes de la presse écrite : l'évolution des kiosques parisiens et de la situation des kiosquiers.
Deux résolutions étaient proposées aux derniers Conseil d'Arrondissement (CA) puis au Conseil de Paris (CP).
La première portait sur une autorisation de signer le marché de conception, fourniture, entretien, maintenance et exploitation publicitaire de kiosques de presse et de gestion des kiosquiers. De loin la plus importante en terme de points en discussion.
Une deuxième résolution portait sur l'instauration d'un régime d'aides aux kiosquiers de presse parisiens.
La proposition de vote de mon groupe UDI-MODEM au Conseil de Paris était l'abstention pour la première et le vote "pour" concernant la deuxième. C'est ce qui a été voté ainsi la semaine dernière en CP pour la première résolution, le Groupe ayant voté "pour" lors du vote de la résolution sur l'aide financière.
Les raisons de l'abstention du Groupe sont les suivantes :
- Nature de la prestation : Offres pas homogènes pour tous les kiosques, situation quasi monopolistique de l'afficheur, durée de 15 ans de la convention, ...
- Situation économique et sociale préoccupante : constant d'une concurrence par d'autres points de vente, dans le RER par exemple, concurrence des abonnements à moitié prix par les éditeurs, ...
- Autonomie des kiosquiers : Les vendeurs ne sont pas assez libre pour cibler les titres en fonction de leur clientèles, en évitant par exemple un encombrements des étalages,...
- Viabilité financière : il est reproché à la ville de Paris de gérer la question du financement des kiosquiers à trop courte vue. La résolution sur l'aide financière en étant un exemple. Il faut mieux diversifier les ventes et donc les revenus.
Tous ces points sont justes.
Pour ma part, la liberté de vote ayant été laissé, j'ai voté pour sur les deux résolutions lors du CA du 3 Mai dernier.
En voici les raisons.
Derrière le sujet des kiosquiers, c'est la question de l'évolution de la presse écrite et des usages en la matière qui est en jeux. Même si l'évolution du numérique fait son oeuvre, il y a des combats qui valent la peine d'être mené, celui de la presse écrite étant un des plus importants selon moi, car l'acte d'achat, quelque soit le journal, devient un en nos jours un acte militant pour le pluralisme de l’infirmation, et l'équilibre à trouver par exemple au regard de l'évolution des chaines d'informations continues, de la presse gratuite, voir de la manière comment des informations non vérifiées peuvent se propager sur Internet et les réseaux sociaux.
C'est une question d'équilibre.
Alors oui, tous les points soulevés par le Groupe dans les débats du dernier Conseil de Paris sont justes. 
Cela dit, selon mes propres convictions :
- Il y a des sujets en politique ou il faut voter oui ou voter non. Celui des kiosquiers, tel que je viens de le décrire en fait partie. 
- Les kiosques à Paris, et la vente en rue des journaux, est une tradition à Paris, une sorte d'exception culturelle parisienne. Il faut donc la défendre avec un vote positif, afin d'éviter les interprétations. 
Cette position implique une exigence des plus fortes, dans le futur, en terme de surveillance de la mise en œuvre de ces résolutions.
Vive les kiosquiers parisiens et vive la presse écrite ! "

mercredi 3 février 2016

Question à propos de l'île de la Cité posée par Jean-Pierre Plonquet au nom du groupe UDI-MODEM au conseil d'arrondissement du 4e mardi 2 février 2016



Monsieur le Maire,

Dans Le JDD du 10 Janvier dernier, un article a été publié avec l'intitulé "L’île de la Cité va t-elle se réveiller ?". Le même sujet est repris dans le journal Les Echos du 20 janvier.
Il est fait mention d'une mission d'étude et d'orientation souhaitée par la ministre de la culture et commandée par le président de la république à un architecte et au directeur du centre des monuments nationaux.
Je cite le souhait du Président :
"Penser l'île dans sa globalité, comme un quartier vivant et ouvert, tourné vers les deux rives de la Seine, conciliant activité économique, accueil amélioré des touristes et mise en valeur d'un patrimoine sans égal".
Voila un beau programme sur lequel tout le monde peut être d'accord.

Cela dit, permettez quelques remarques de jeune élu encore candide :
- Qui pilote quoi à Paris ?
- En tant que Maire du 4e, étiez vous au courant, avez vous été consulté ?
- Qui peut porter à terme le budget de mise en oeuvre si cette mission aboutie ?
- Quel rôle vont jouer les habitants des Iles, car il y en a encore quelque uns ? Dis plus directement, comment l'arrondissement va t-il être associé ?
- Et il ne fait aucun doute que l'usage de l'Hôtel-Dieu soit encore mis en discussion

Vous reconnaîtrez qu'à une époque ou la Maire de Paris porte aux nues les budgets participatifs comme étant le symbole ultime de la démocratie locale, une telle information peut surprendre.

En vous remerciant